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Dans la cuvette grenobloise, le conflit Caterpillar n'en finit pas de bouillonner. Entre le désespoir de salariés viscéralement attachés à l'entreprise et les débordements orchestrés par une poignée d'ultras, rarement l'annonce d'un plan social aura généré autant de violence. Tandis que les acteurs se renvoient les responsabilités, les experts tentent d'en tirer les leçons.
Le 1er avril à Grenoble, quatre dirigeants du groupe américain d'engins de chantier Caterpillar quittent sous les huées et les jets d'oeufs les locaux où ils ont été séquestrés durant vingt-quatre heures. Leurs traits tirés et leurs costumes chiffonnés témoignent d'une nuit pénible, où, sur fond de musique rap, les insultes, les crachats et les vexations ne leur ont pas été épargnés. Plus grave, des salariés se sont emparés de leurs adresses et menacent de s'en prendre à leurs familles :« On sait très bien où ils habitent. Moi, j'ai pas assez frappé, cette semaine », fanfaronnera même un salarié devant les journalistes. Comment un conflit social a-t-il pu déraper au point d'atteindre de telles extrémités ?
Depuis le début, sous le langage codifié des représentants syndicaux, se devine une violence latente, prête à exploser. Au fil des semaines, toutes les tentatives de négociation se sont soldées par des échecs. La faute d'une direction ne disposant d'aucune marge de manoeuvre et ne pouvant qu'appliquer les consignes de sa maison mère américaine ? Ou celle d'une intersyndicale divisée, sans charisme ? Ces éléments ont pu jouer. Mais pas au point d'expliquer ce qui est devenu « le » conflit emblématique d'une France en récession.
« Cater » un jour, « Cater » toujours
Lorsque Caterpillar annonce, en janvier, sa volonté de supprimer 5.000 emplois, dont 600, puis 733, sur ses sites grenoblois, le choc est terrible. Car, depuis trois ans, les usines tournent à plein régime. Jamais la croissance n'avait été aussi forte : plus de 500 intérimaires ont été embauchés et les salariés se préoccupaient plus de « satisfaire les critères de productivité que de la santé de l'économie globale », souligne Thierry Grange, directeur de l'Ecole de management de Grenoble. « Au sein d'un personnel pétri de la culture d'une entreprise en croissance, l'annonce du plan social va provoquer un choc culturel et même, chez certains, un vrai désespoir », confirme Jean-Pierre Gilquin, secrétaire général de l'union départementale Force ouvrière.
Dans le bassin grenoblois, où les conflits sont toujours plus explosifs qu'ailleurs, l'annonce du plan social joue comme un détonateur. « Dans les années 1970, déjà, les OS pistoléristes de Caterpillar avaient fait la une des journaux par leurs actions violentes, au cours d'une grève historique », rappelle Raymond Avrillier, ingénieur en sciences sociales. « A présent, dit-il, les représentants des salariés se trouvent confrontés à un dilemme : on leur demande d'accepter des suppressions d'emplois pour que l'activité du site perdure. »
La crise actuelle est d'autant plus mal vécue que « les salariés se sont toujours battus comme des forcenés pour maintenir leurs sites de production en Isère », rappelle Thierry Grange. Réalisant des prouesses en termes de productivité, au point que les « process » de Grenoble servaient de modèle aux autres usines du groupe. « Notre challenge, c'est de rester plus compétitifs que les Américains », lancera un directeur des ressources humaines en 2005... Dans les années 1980, pour éviter des suppressions d'emplois, les ouvriers acceptent même de faire de la maçonnerie et, durant des mois, coulent du béton.
Sur place, la « culture Cater » est si forte que les salariés disent avoir « le sang jaune ». Un sentiment qu'ils partagent avec leur directeur, Nicolas Polutnik : « J'aime cette société pour son code de conduite, qui apporte un confort extraordinaire. En dépit des offres, jamais je n'en partirai », promet-il. « Cater » un jour, « Cater » toujours. A Grenoble, plus de 200 personnes affichent trente années d'ancienneté et souvent, les fils succèdent aux pères... « Très jeune, j'ai fait un stage chez Caterpillar et, d'emblée, j'ai senti une ambiance extraordinaire, des valeurs, une culture », s'enflamme Thierry Grange. Cet attachement passionnel à l'entreprise explique le désespoir ressenti sur le site. « Au-delà du portail, il n'y a rien », lâche un salarié, amer.
Un dialogue impossible
Chez Caterpillar, il s'est formé une noblesse ouvrière de la mécanique qui côtoie avec méfiance des dirigeants « rigoristes, pratiquant un management à l'anglo-saxonne ». Il existe « un fossé entre les cols bleus et les cols blancs », souligne Jean-Pierre Gilquin. Un clivage qui s'est vérifié durant tout le conflit. Dès l'instauration du chômage partiel, fin octobre 2008, le directeur de Caterpillar France a voulu associer à sa démarche les représentants du personnel. En vain. « Toutes nos demandes pour chercher, en amont, des solutions à la crise se sont soldées par des refus », raconte-t-il. Dialogue de sourds aux conséquences fâcheuses : tandis que les sites belges ou américains du groupe ont déjà entamé leur restructuration, Grenoble reste dans l'impasse. Avouant, certains jours, ne plus savoir que dire à sa direction américaine, Nicolas Polutnik a même envisagé, devant la gravité de la situation, de porter à 1.000 le nombre de suppressions d'emplois. Ses mises en garde quant à la survie du site sont restées lettre morte et ses arguments « inaudibles » dans les médias, regrette-t-il.
Face à lui, une intersyndicale déchirée par des luttes internes, incapable de mettre en place une quelconque stratégie. A l'instar de Patrick Cohen, élu CGT, ses membres reconnaissent « n'avoir jamais eu la main dans ce conflit ». Au point de signer un accord un jour, à Bercy, sans être en mesure de le faire approuver le lendemain à Grenoble. Qualifiés de « traîtres » et de « vendus aux ors de Bercy », les représentants syndicaux vont vite tourner casaque et s'aligner sur les plus durs, très actifs au sein du comité de grève. Des ultras que la CGT utilise au début du conflit pour faire monter la pression et créer un rapport de forces favorable. « Une vingtaine de personnes ont fait régner un climat de terreur, et je pèse mes mots », constate un observateur extérieur.
Des « gros bras » incontrôlables
A entendre les témoins, au-delà du désespoir des salariés et des maladresses de la direction, c'est peut-être là que la violence inédite du conflit Caterpillar s'est cristallisée. Car ces « gros bras » seraient devenus rapidement incontrôlables. N'ayant rien à perdre parce que proches de la retraite ou trop récemment embauchés, ils ont pour seule stratégie l'augmentation de la « prime à la valise ». Issus pour la plupart des programmes d'intégration sociale, récemment sortis de prison pour certains, ils ont piloté le conflit à leur manière, dans la surenchère permanente. « Tous les jours, ils se demandent ce qu'ils vont bien pouvoir faire pour qu'on parle d'eux dans les médias », ironise un salarié. D'où l'enchaînement d'actions toutes plus spectaculaires les unes que les autres : pneus enflammés, blocage des transports, occupations de locaux, arrêts de travail. Et ce en dépit des injonctions des cadres syndicaux, qui dépensent « toute leur énergie à canaliser la violence », témoigne l'un d'entre eux.
La direction multiplie les recours en justice, mais les durs ne désarment pas. Ils paralysent toute négociation, en défendant des propositions irréalistes comme le doublement de l'enveloppe du plan de sauvegarde de l'emploi. Durant quatre mois, l'intersyndicale n'a jamais pu donner un avis sur le plan de sauvegarde de 2.600 salariés. In extremis, trois syndicats (mais pas la CGT) se sont affranchis des pressions pour signer un accord-cadre sur l'organisation du temps de travail et sauver 133 emplois.
Cellule d'aide psychologique
Aujourd'hui encore, les témoins restent ébranlés par la tournure des événements. « Les membres du comité d'entreprise, les cadres ou les salariés qui manifestaient un avis contraire ont subi continuellement des pressions et des menaces », explique l'un d'entre eux. Parfois même des menaces de mort. « C'est inadmissible, impensable dans une démocratie et j'espère que cela ne préfigure pas les conflits futurs », ajoute- t-il. Dans l'entreprise aujourd'hui, une cellule d'aide psychologique a été ouverte. Des délégués syndicaux sont en dépression. Des cadres et des membres du comité d'entreprise ont même demandé à être protégés, jour et nuit, par des gardes du corps... « Si nous n'étions pas au sein de Caterpillar, le site aurait fermé », reconnaît le directeur.
Pour l'avoir suivi de près, le directeur de la direction du travail de l'Isère estime que le conflit Caterpillar va ouvrir « de nombreuses pistes de réflexion sur les conflits du futur ». Il risque déjà de menacer les programmes d'intégration d'anciens condamnés après leur peine de prison. Il pose aussi la question de la culture économique des représentants du personnel, et celle de leur association, en amont, aux décisions d'une entreprise.
GABRIELLE SERRAZ, Les Echos
NOTRE CORRESPONDANTE À GRENOBLE.
Les chiffres clefs des sites isérois
- En Isère, Caterpillar réalise 18 produits et représente 8 % de l'activité mondiale du groupe américain d'engins de chantier.- Le groupe emploie 2.551 personnes dans le département, réparties entre Echirolles (commune limitrophe de Grenoble), où sont fabriqués les tracteurs à chaînes et de petites pelles hydrauliques, et Grenoble, dédié aux trains de roulements et au bureau d'études.- Depuis son installation à Grenoble en 1961, avec le rachat de Simatra (300 personnes) au groupe Richier, Caterpillar France, qui exporte 92 % de sa production, figure parmi les sites les plus compétitifs du groupe, qui en compte 174.- La chute des commandes de 70 % en 2009 entraîne un plan social, dont l'enveloppe passe de 35 à 50 millions d'euros, portant sur 733 suppressions d'emplois. Un chiffre ramené à 600 après un accord sur l'aménagement du temps de travail.- Le groupe, qui a investi 75 millions d'euros en trois ans dans l'outil de production grenoblois, s'est engagé à maintenir son activité jusqu'en 2015.
- En Isère, Caterpillar réalise 18 produits et représente 8 % de l'activité mondiale du groupe américain d'engins de chantier.- Le groupe emploie 2.551 personnes dans le département, réparties entre Echirolles (commune limitrophe de Grenoble), où sont fabriqués les tracteurs à chaînes et de petites pelles hydrauliques, et Grenoble, dédié aux trains de roulements et au bureau d'études.- Depuis son installation à Grenoble en 1961, avec le rachat de Simatra (300 personnes) au groupe Richier, Caterpillar France, qui exporte 92 % de sa production, figure parmi les sites les plus compétitifs du groupe, qui en compte 174.- La chute des commandes de 70 % en 2009 entraîne un plan social, dont l'enveloppe passe de 35 à 50 millions d'euros, portant sur 733 suppressions d'emplois. Un chiffre ramené à 600 après un accord sur l'aménagement du temps de travail.- Le groupe, qui a investi 75 millions d'euros en trois ans dans l'outil de production grenoblois, s'est engagé à maintenir son activité jusqu'en 2015.
Article écrit surement pas un gars du MEDEF ?! C'est les patrons les plus violents dans l'histoire, surement pas le pauvre Lutnik qui est la marionette de Jimy ! C'est Jimy le plus méchant des Cater !!
RépondreSupprimerPour info j'ai son adresse :
J. Owens Caterpillar CEO
100 NE Adams Street PEORIA, IL 61629
TEL : (309)675-1000
Petit retour sur les criteres (extrait du site des RH, question 129 et 130) :
RépondreSupprimerd'apres eux, on prend en compte ancienneté et enfants à charge situation familiale et handicap. Puis en cas d'egalité l'age. Si encore egalité et dans ce cas seulement les rapports. Alors pourquoi vous n'avez pas la meme version? Pas le meme livre 4????
Merci de repondre la dessus car cela change beaucoup de choses!
Bonne journée
2: On commence par additionner tous les critères dont l'age et les rapports et c'est si et seulement si il y a égalité de point pour une suppression de poste que l'on compare l'age. Et si et seulement si il y a égalité d'age, on compare la notation moyenne des 3 dernières années (très faible probabilité d'en arriver là).
RépondreSupprimerTu comprends?
a numero 1 sa te saire a quoi d avoir sont adresse ta meme pas la tune pour aller le voire .de plus il doit a voire des gardes du corps et les flic la bas ne pas les rigols de cher nous les petits cave de france applerait leus maman
RépondreSupprimerBonjour,
RépondreSupprimerEncore une autre question : est ce que les chiffres sur les nombres de licenciements par poste que vous donnez sont bine par rapport à 600 licenciement ou à 733?
Merci
Excellente remarque 5: oui les chiffres sont qualibrés pour -733 et donc il faudrait réduire de 18% toutes ces données.
RépondreSupprimerintegration d'anciens condamnes apres leurs peine je suis ok mais au de ce qui c'est passer mais ne faut t'il pas que nos rh fasse plus attention sur le rerutement de ces personnes car sa fait peur il n'y as pas si longtemps que en equipe nuit ont se serait cru dans une cour de prison moi meme j'ai fait de la prison mais quand ont decide de rentrer dans la droit chemin il faut se rappeller d'ou ont vient est ne reproduire les meme fait qui nous ont conduit derriere les barreau pour cela il faut hononer le bras qui nous tendu et non le profil qu'il ont donner durant se conflit.
RépondreSupprimera je rigole sa prouve con et pris encore pour des cons une fois plus .
RépondreSupprimer-les primes dans le Q .
-l' organisation du temps de travaildans le Q au mois octobre .
- 3 jour de plus pour les depart volontaire ....je rigole
et on nous a dit on va etre gagnant en signent vous allèe voir la suite les gags la verite et masquè...... (il y a aucun syndicat qui a gagne la dedant il appllique se que le patrons avais dit des le depart ) faite confience a vot syndicat il ont signe c pas pour nous !!!!!
L'expression anonyme fait partie de la thérapie du Blog...
RépondreSupprimera quant les 75% , j'ai constaté que le moi de mai est toujours a 60 %.
RépondreSupprimerLes lettres doivent partir quand ? j'ai entendu dire le 29, mais aussi le 12 juin ?
RépondreSupprimerCFTC avez-vous une info fiable ?
Merci
chomage partiel pendant 4 ans ?
RépondreSupprimerChomage partiel payé a 80 % ?
Ou en est on ?
10: ça aurait du etre 80% à partir du 1 er Mai (question DP)
RépondreSupprimer11: Les lettres de notification que son poste est supprimé partiront en juin... (mi juin?)
12: vaste question...
y'a t-il du chomage partiel prevu en juin?
RépondreSupprimercftc 13 :
RépondreSupprimercomment sa vaste question ....les discussions autour du chomage partiel pendant 4 ans en sont ou ? LE PASSAGE DU CHOAMGE PARTIEL DE 60 A 80 EN EST OU ?
bonsoir ..
RépondreSupprimerpour quoi vous dite pas toute la verite ?
pour quoi vous avais mentis les syndica?
et vous vous ete servie des ouvrier pour pas signe a avant le soir ou vous ete alle a paris meme vos directeur des syndicat vous avais dit de signee qu'il y avait pas mieux comme pse
LE PASSAGE DU CHOAMGE PARTIEL DE 60 A 80 il existe pas les gags c des connerie c pour le patrons mes pas pour nous je vous dit il on mentis et pris pour leur soldat et il se sont servis de nous les ouvriers
RépondreSupprimerAu lieu de critiquer les syndicats essayez d'apprendre a lire .. journaux ou internet.
RépondreSupprimerLe passage a 80% est une decision de l'etat qui sera retroactive a partir du 1 Mai.
C'est l'etat qui doit donner les modalités, et ensuite Caterpillar les appliquera ... et enfin on touchera 80%.
Bien sure la banque elle s'en fout si tu es en rouge aujourd'hui, j'en suis désolé mais arretez avec les syndicats.
SIGNER ETAIT LA SEULE CHOSE A FAIRE
message a l'inter syndical cgt compris est tous particulierement au menbre du ce vous avez mis a jour votre site le 27.05.09 est quand je voit le tableau je suis degouter car j'avais une promesse d'embauche j'ai appeller bpi le 19.05.09 pour savoir avec quelle indemnité je pouvais partir aucun rendez vous proposer le devis c'est par telephone avec la standartiste
RépondreSupprimerelle a etudier mon cas 12 d'ancienneté salaire brut 2000 euro somme pour depart volontaire tous compris 23500 euro trop peu a mon gout je decide de rester
alors la je absourdi au vu des sommes du tableau sur le site du ce car si j'ai bien calculer j'aurais du prendre as une indemnité d'au moins 60000 euro cela quand une drole de difference merci de publier et de repondre messieurs de l'intersyndical.
cher patron si tu lis ce blog, je tiens a te remercier toi et tes collaborateurs de nous faire passer des mois et des mois de merde, aussi je tiens a te dire que si je n ai pas la chance d etre licencieé, je ferais tout pour t etre reconnaissant et te remercierais a mon tour en faisant preuve d un maximum de soumission et de docilité, tout comme tu aimes cher patron .Tu sais si tu reussis pas chez CATER tu pourras toujour ouvrir un CHENIL car tu m as l air de maitriser le sujet sur le bout des doigts. Je vais arreter la car ta vie doit etre vraiment difficile mon pauvre, pauvre petit patron....Merci de t inquièter de tes animaux, car c est comme ca que tu nous traite.
RépondreSupprimerLes gars ont étés sequestrés une nuit, nous ca fais 6 mois qu ils séquestrent nos salaires, apres ca c est nous les violents.
RépondreSupprimermessieurs , bonjours , une feuille circule sur la supression des postes .
RépondreSupprimeren particulier pour les 265 points il y aurais 102 poste de supprimé sur 108 .
peut-on nous dire vraiment la verité ?
des bruits court que les lettres nous les receverons semaines 25 voir 26 .
c'est bruits sont il juste ?
merci camarade de la cftc de me repodre .
19: Je ne comprends pas ton message; si tu demandes la sommes que tu toucherai en indemnité de départ c'est 32 187 net en volontaire ou désigné 26427 euros dans 9 mois.
RépondreSupprimerNémo, j'éspère que ça défoule?
22: Les lettres de notification sont attendues fin juin. On n'a pas d'autres éléments aujourd'hui
19 dit vous etes incoherent d'une part sur le site du ce:prime de depart volontaire entre 8 et 15 ans 26500 prime depart volontaire au quelle ont ajoute si j'ai bien compris la prime prejudice moral 24500 cela deja 50000+ 2 mois mois de preavis environ 4000+ l'indemnité conventionnelle environ 4000 puisque que j'ai que 12 ans d'anciennté plus les le reliquat des conge environ 2000 pour moi la somme est 60000 euro vous dites 32187 net ou passe le reste merci de publier et de repondre
RépondreSupprimer24: répondre à quoi?
RépondreSupprimer24 entre 60000 euro et 32187 il y a une enorme difference je pense? ou passe le reste merci en charge d'impots a vous de repondre?
RépondreSupprimerNon, les sommes percues lors d'un PSE ne sont pas soumises à impot. Seul les 11% de CSG sont payable l'année suivante.
RépondreSupprimeralors qui dit la verité vous ou le comite cat 60000 euro d'apres le ce est vous sur votre blog 31870 euro donner moi une reponse s'il vous plait merci.
RépondreSupprimer@ 24
RépondreSupprimera mon avis c est soit l un soit l autre . pour ton cas
depart volontaire 26500€
licencié 24500€
a rajouté les 7000€ en cas d accord sur l ammenagement du temps de travail
et les indemnitées - preavis - congés payé
par contre j ai pas trop compris le plancher et le plafond
Plancher (quelle que soit l'ancienneté) 28 000 € + 6 000 €
Plafond (quelle que soit l'ancienneté) 24 mois de salaire sans changement
24 non le tableau veut dire entre 8 et 15 ans tu touches en volontaire 26500 OU non volontaire 24500. dans le 2 cas +7000 en novembre si accord cadre.
RépondreSupprimerDonc l ami de la CFTC a raison.
pour 19 quel dommage les syndicats t ont obtenu plus d'argent, ils sont trop mechant.
Une fois de plus il ne faut pas confondre LOTO et PSE.
MERCI AUX BENEVOLES DE LA CFTC QUI REPONDENT A CE BLOG
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerle délégué le plus dure à recu on vera les autres si ils sont dure
RépondreSupprimerCa veut dire quoi 32?
RépondreSupprimerje crois plutot que c'est 26500 pour depart volontaire ou 24500 pour avoir été licencié ....les 7000 en + sont inclus dans ses sommes ......+ 7000 sur le tableau indicatif du CE veut simplement dire que pour - 133 licenciés + 7000 euros nous seront versés en octobre ....
RépondreSupprimerCFTC AI JE TORT OU RAISON ?
NOTE 26500/24500 -> ENTRE 8 ET 15 ANS D'ANCIENNETE
c est clair ca défoule, mais reconnaissez que j ai pas tort
RépondreSupprimermoi non plus j ai rien compris mais bon......
RépondreSupprimeroui
RépondreSupprimerje ne dis pas mon nom, j'etais agressé mais les represailles vont être dure tu vas courir plus vite que ton ombre pendant ce temps, je sais qui tu es.
Enigmatique 37!
RépondreSupprimer@ 37
RépondreSupprimersi tu as ete agressé et je le regrette tu n a qu a deposer une plainte
ca lui coutera quelques milliers d €
il faut la ferme cette boite ou vire tout les syndicat qui nous mente et serve de nous
RépondreSupprimerEt bien 40?! Pas très constructif comme remarque!
RépondreSupprimerEt pourquoi pas le contraire?!
cftc repon au numero 34
RépondreSupprimerc pas nous mes bien le patron qui touchera 80% et il et pas oblige de nous le donner car je suis allee voir un avocat a la mairie (c gratuit) et il ma dit plien de bonne chosse que l'on peut metre les syndicat au tribunal car il avais pas le droit signe oui alor que le vote majoriter etait non avec tout les texte de loi .....
RépondreSupprimer43: il faut arrêter de boire... 18 y a répondu et nous avons une question DP sur le sujet.
RépondreSupprimerok cftc mais comment comprendre le tableau sur le site du ce ?
RépondreSupprimerEXEMPLE DE 8 A 15 D ANCIENNETE / fAUT IL AJOUTER 26500 A 7000 EN CAS DE SIGNATURE EN OCTOBRE...
J'ai bien compris que sur ce tableau les paliers sont de 5 nas mais pour mon cas personnel j'ai 14 ans d'ancienneté
je vais faire signer une petition pour demander a tous les gens qui ont souscrits au depart volontaire de ne pas signer leur rupture de contrat les sommes que l on doit nous verser ne sont pas claires il y a de l'entourloupe dans l'aire merci de diffusser cftc...pour 14 ans d'anciennneté j'ai en tout est pour tout 22000 d'indeminité mais sa va pas ou koi je ne signe plus ( rupture de contrat definitif ).
RépondreSupprimer34: On ne sait pas si en novembre ce sera 6000, 7000 ou 15120 pour les 9 millions d'euros libérés pour signature d'un nouvel accord sur le temps de travail (50 millions x 133/733 /600 = 15120 euros)et donc 133 suppressions de poste en moins.
RépondreSupprimerLe tableau sur le web du CE est une indication et il vaut mieux se référer au livret "Synthèse des principales mesures..."
Pour ton cas, l'indemnité de rupture avec 14 ans d'ancienneté dans le cadre de la mobilité externe serai: 17500+Le conventionnelle(cf métallurgie+ le préavis+ x>= 7000 euros en novembre 09).
Départ volontaire +2000 euros.
COMMENT SA VOUS NE SAVEZ PAS SI 6000,7000 ou 15120 ..........ESSAYER DE SAVOIR AU PLUS VITE OU JE VOUS GARANTIS QUE MARDI MATIN VOUS AVEZ AU MINIMUM UNE CENTAINE DE PERSONNES QUI VONT CRIER AU SCANDAL DEVANT L ENTREPRISE....J AI SOUTENU LA SIGNATURE DES 3 SYNDICATS PARCE QUE JE PENSAIS REEELEMENT QUE 133 FAMILLES ALLER ETRE SAUVER ET QUE LES PRIMES ALLEZ ETRE PLUS CONSEQUENTES RESULTAT DES COMPTE TU NOUS ANNONCES QUE LES INDEMINITES DE DEPARTS EVOLUE SEULEMENT DE : exemple depart volontaire entre 0 et 8 ans -> 2000 EUROS....OU.....SA VA CHAUFFER SI ON A PAS UNE REPONSE.....VITE TRES VITE ....
RépondreSupprimerSIGNER UNE PERE DE FAMILLE QUI PENSAIT AVOIR PRIS LA BONNE DECISION POUR SES ENFANTS....
en faite si sa continue comme sa on va recevoir nos lettres en decenbre 2012 vous ne savez plus quoi faire pour nous faire avaler vos couleuvres
RépondreSupprimerje crois bien que tu as raison 49
RépondreSupprimerbonjour tout le monde j sui etudiant en genie industrie et maintenance et je chercher un stage je voudrai avoir un contact pour envoyer mon cv et ma lettre d motivation merci
RépondreSupprimerjoublier mon mail kamane-g@homtmail.fr
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