Voici les dates des prochaines réunions de négociations :
Jeudi 17 Avril à 9h : 1ère réunion de négociations sur la mobilité et les dossiers pré-retraite refusés dans le cadre du PDV
Vendredi 18 Avril à 9h : 1ère réunion de négociations concernant la GPEC (Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences)
Vous retrouverez les Compte-rendus de ces négociations prochainement sur notre blog.
Ca veux dire quoi "gestion................"GPEC, c est bien ou pas bien pour nous autres salariés
RépondreSupprimerLa Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences (GPEC) permet à l’entreprise d’anticiper les évolutions socio-économiques, technologiques ou organisationnelles et d’adapter les compétences des salariés pour faire face à ces évolutions.
RépondreSupprimerLes entreprises occupant 300 salariés ou plus doivent engager des négociations sur ce thème au moins tous les trois ans. Celles de moins de 300 salariés peuvent bénéficier d’un dispositif d’appui-conseil et d’une aide financière de l’État pour élaborer un plan de GPEC.
Le plan de formation de l’entreprise doit s’articuler avec la GPEC.
Quel intérêt ?
Anticiper l’évolution des métiers.
Adapter les compétences aux évolutions économiques et sociales, technologiques ou organisationnelles.
Rester compétitif face à la concurrence.
Développer une gestion active des âges dans l’entreprise.
La GPEC est une vision sur 3 ans des emplois menacés. Les salariés sur ces emplois menacés peuvent en changer sur la base du volontariat (ça doit être réaffirmé dans l'accord) via des passerelles vers d'autres métiers. Le PSE quant à lui supprime immédiatement les postes correspondants aux emplois menacés pour reclasser les salariés sur ces postes avec des licenciements économiques.
RépondreSupprimerL’annonce a été faite par Mark Wouters, le directeur général de Caterpillar, cette après-midi, par vidéo aux 144 salariés. « Nous subissons des pertes de 2 millions d’euros par mois. La viabilité de l’entreprise est en péril. Il faut rationaliser la production et la seule solution est de mettre un terme à la production des compacteurs sur Rantigny. » Elle se fera désormais aux États-Unis. La direction espère trouver un repreneur d’ici août 2015. Les syndicats y voient une « chasse au profit. »
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