Le parcours hors du commun de Mohed Altrad, meilleur patron du monde
Cet homme d'affaires français a reçu le prix mondial de l'entrepreneur de l'année.
Il
s'appelle Mohed Altrad,
il est français, et il a reçu le titre mondial d'entrepreneur de l'année.
Une
consécration incroyable pour un homme au parcours presque surnaturel.
Tout
a commencé en Syrie, dans le désert où il est né. Modeste bédouin sans date de
naissance, ni
argent, il ne fréquente pas l'école avant l'âge de 10 ans. Sa soif de réussite
lui permet tout de même de décrocher une bourse et de découvrir la France et
Montpellier à l'âge de 17 ans.
Il n'oublie pas ses salariés
Dans
les années 1980, il rachète une entreprise d'échafaudages qu'il fructifie.
L'opération se répétera encore et encore. Spécialiste du BTP, Mohed Altrad est
aujourd'hui leader mondial d'un secteur dans lequel il contrôle une centaine de
sociétés et emploie 17 000 personnes.
Milliardaire,
le businessman est exigeant mais aussi généreux. Propriétaire du Montpellier
Hérault rugby, il reverse à
ses salariés une
partie des 200 millions d'euros de bénéfices annuels.
"Il faut
nécessairement qu'une partie non négligeable de cette somme reparte aux
salariés", assure le
meilleur patron du monde.
Notre
direction ferait bien de s’inspirer du meilleur patron du monde, au lieu de proposer le pire à ses salariés.
que FO signe l'accord GPEC nous le savions comme d'habitude mais la CFDT signe il a plus rien y comprendre ARRANGEMENT entre les deux partis le soleil brille mais l'argent brille encore plus
RépondreSupprimerFO n'a pas signé le dernier accord NOE : Alors, le " comme d'habitude" n'a pas lieu d'être. Renseigne toi bien avant de dire des anneries ....
SupprimerSalut les amis en signant cette accord FO et CFDT condamnes et licencies eux même plusieurs salaries de l'entreprise car le GPEC c'est juste un accord de compétence comment des syndicats peuvent aller dans le sens des patrons.
RépondreSupprimerAvec cette accord signé la direction pourra juger si un salarie doit rester ou partir de l'entreprise nous somme devenu de réelle moutons grâce à ces deux syndicats