Caterpillar veut réduire ses effectifs dans l'Isère 12/01/2009 Social
Le constructeur d'engins de chantier Caterpillar a annoncé vouloir réduire de 600 postes l'effectif de son site de Grenoble, en Isère, où il emploie 2 700 salariés. Dans une lettre datée du 9 janvier envoyée à ses salariés, le groupe fait part des « difficultés économiques mondiales » pour justifier cette décision.
Dans ce courrier, Caterpillar explique également que « le niveau des commandes pour l'année 2009 s'est effondré et représente désormais à peine la moitié de notre capacité ». Le site grenoblois, spécialisé dans la fabrication de tracteurs à chaînes de roulement, a réalisé un chiffre d'affaires de 247,7 millions d'euros en 2007.
Caterpillar coupe dans les salaires des cadres 22.12.08 - 19:44 Caterpillar, le plus important producteur mondial de machines de construction notamment implanté en Belgique, va couper dans les salaires des cadres, a fait savoir lundi le siège basé aux Etats-Unis (Illinois).
Les rémunérations vont diminuer de 5 à 35%, et jusqu'à 50% pour les cadres supérieurs.
Pour certaines fonctions aux Etats-Unis, la société propose des départs volontaires. Les engagements prévus sont gelés et les arrêts temporaires de production vont continuer.
L'entreprise n'a pas précisé le nombre de travailleurs concernés ni l'ampleur de l'économie. Il n'est pas clair si les mesures ne touchent que les Etats-Unis.
Restructurations dans le département : la sénatrice rencontre les salarié-e-s
Notre département est touché de plein fouet par la crise financière et économique : TYCO, CELETTE, LAFARGE et aujourd’hui c’est au tour de VALEO et de CATERPILLAR d’annoncer des suppressions d’emplois !
Ces restructurations sont présentées comme étant inéluctables face à la crise ! Mais je refuse ce fatalisme et mets en garde les entreprises qui utiliseraient la crise pour justifier des plans sociaux.
C’est pourquoi, il me semble primordial d’échanger avec les salarié-e-s.
Ainsi, je me suis rendue à VIENNE, le lundi 12 janvier 2009, à la rencontre des salarié-e-s du groupe LAFARGE, menacés par la mise en oeuvre d’un plan social qui devrait voir la suppression d'une quarantaine d'emplois sur le site de Seyssuel. Après avoir écouté les représentants syndicaux, il semblerait, chiffres à l’appui, que ce groupe et son coactionnaire le fonds d'investissement PAI PARTNERS, aient prémédité cette restructuration, même si la crise l’a sans doute accélérée. J’ai donc saisie Madame Christine LAGARDE, Ministre de l’économie, de l’industrie et de l’emploi, afin qu’elle intervienne auprès de la direction pour maintenir l’emploi sur ce site !
J’ai, par ailleurs, rencontré les salarié-e-s de l’entreprise CELETTE repris par le groupe EQUINOX, un fonds d'investissement basé en Suisse. Le plan de continuation prévoit le licenciement de 20 salarié-e-s sur un effectif de 180. L’enjeu sera toutefois de veiller à ce que ce groupe mette en œuvre une véritable stratégie industrielle dans l’objectif de pérenniser le site. Sur ce dossier, les salarié-e-s savent pouvoir compter sur mon soutien.
Quant à l’annonce par l’entreprise de CATERPILLAR de supprimer 600 emplois - ou 450 en contrepartie d’une annualisation du temps de travail - sur les sites de GRENOBLE et d’ECHIROLLES, là aussi les salarié-e-s que j’ai rencontré le jeudi 15 janvier craignent que la crise ne soit qu’un prétexte pour restructurer, voir délocaliser une partie de la production ! Sur ce dossier également, je serai vigilante et m’engage à saisir la ministre LAGARDE, ainsi que le Préfet de l’ISERE!
Je condamne fermement l’ensemble de ces restructurations qui semblent pour partie injustifiées et m’engage aux côtés des salarié-e-s à les soutenir pour toutes les initiatives qu’ils et elles jugeront utiles d’entamer pour préserver l’emploi dans notre Département !
j'ai appris que la cgt et la cftt voulaient faire un blog pour moi c'est de la jalousie car c'est deux syndicat c'est de la merde et au lieu de copier sur les autres vaudrait mieux qu'ils s'occupent un peut mieux des salariés.Pour moi qui suis dans les bureaux , je pence cftc pour ce sortir de cette crise.
J’ai plusieurs questions concernant les mesures de suppressions de postes annoncées par courrier de la part de notre "chère" direction, mais avant j'aimerais te donner mon avis sur la situation et sur notre manière de procéder.
Tout d'abord analysons les faits. Caterpillar subit une forte baisse de commandes. Nous avons en 2008 construit un peu plus de 8000 machines aujourd’hui la direction annonce que nous avons une prévision de commandes de 3 ou 4000 machines pour 2009. Sachant qu’il ne s’agit que de prévisions et bien que je pense que la direction tronque les chiffres pour mieux nous faire avaler la couleuvre il serait absurde de ne pas reconnaître que la situation de CAT France n’est pas brillante.
La direction de Cater a décidé de prendre des mesures pour réduire les effectifs. Cela me parait logique nous étions 3200 salariés pour construire 8000 machines pour construire deux fois moins de machines il faut deux fois moins de personnel ils ont besoin de 1600 personnes. Quand on a compris cela il me semble idiot de croire que les négociations sur le temps de travail ou sur les quelques « avantages que nous avons chèrement acquis par nos luttes » peuvent avoir une influence à long terme sur le nombre de personnes que cater souhaite licencier. Il est facile d’imaginer que c’est ce que la direction va souhaiter nous faire croire. Cela ne sert a rien de se battre pour conserver les emplois. Inutile de s’épuiser c’est mort ! Il faut se battre pour que les salariés puissent partir dans les meilleures conditions possibles primes de licenciement reclassement etc.…Tyco prime de licenciement 30000 euro minimum pouvant aller jusqu'à 90 000 euro (source fr3 édition de 19h du 17/02/09)
Celle-ci souhaite le faire rapidement. Est-ce NOTRE INTERET ? Heureusement nous ne sommes pas en chine ou aux US en France il y a des lois qui instaurent une procédure en cas de licenciement à savoir des obligations pour l’employeur et des délais de préavis. Je pense que notre intérer est de faire traîner c’est autant de répit pour les futurs licenciés. Et sait on jamais l’activité peut repartir ce qui changerais complètement la donne. Quoi qu’il en soit le temps joue en notre faveur. Que cater respecte bien la loi sinon faite des entraves c’est autant de gagner. Qui est pressé d’être viré ?
Mes questions :
J'ai appris que la CGT avait une liste avec le nombre de personnes qui sont concernées par les suppressions de poste dans chaque service a tu eu cette info et peut tu la communiquer?
D'après toi quels seront les critères qui seront pris pour sélectionner les licenciements? (Age ancienneté situation familiale tête du client......).
Cela fait deux fois que je diffuse un commentaire j'espére que cette fois il s'affichera. Vous avez créé un blog il faut laisser les salariés de cater s'exprimer meme si de ces opinions ne corespondent pas a vos attentes merci
Bonsoir, est-il vrai que demain 24/02, une rencontre doit avoir lieu entre la ministre de l'économie et CATER/maires de Gre. et Echirolles? Merci de vos infos à tous...
Bonjour,je suis entièrement d'accord avec le commentaire du 15 février de 09h02, à quelques différences près : je dis OUI, Cat France traverse une période creuse, les commandes sont à la baisse et l'effectif d'aujourd'hui est trop important par rapport au nombre de machines à faire. Il est "logique" de licencier (très dur à écrire mais c'est une réalité mondiale). Là où je ne suis pas d'accord, tous les acquis sociaux ne doivent pas être en péril à cause de cette crise.Il sera malheureux de se séparer de 733 collègues, mais il en restera encore environ 1800. Je dis NON ,à tout ça. Notre combat doit se focaliser sur les conditions de départ de nos malheureux 733 collègues, mais aussi sur les conditions de travail de ceux qui vont rester. Les plus pessimistes diront que cette usine est vouée à une fermeture certaine, mais, pour ma part, je ne veux pas partir en ayant des regrets de ne pas avoir essayé. On entend des "choses" à l'extérieur mais rien de l'intérieur, c'est dommageable de la part de l'intersyndicale. Notre copain CHEHAB était un homme de conviction, passionné et extrèmement philantrope; je pense que d'où il est maintenant, il doit se dire que le combat, qu'il a mené jusqu'à maintenant, ne doit pas être vain parce que, nous, salariés de CAT France, n'avons aucune volonté que cette "boite" continue à vivre (elle). Je dis "ASSEZ" !!! Il y a une "manifestation", Jeudi 26 février à 09h à Cat Grenoble, les politiciens de la régions se mobilisent pour nous, NOUS NOUS DEVONS D'ÊTRE PRÉSENTS ET D'AGIR. Je crois qu'il est temps enfin de passer à l'action. Fini cette mascarade, tous les jours que dieu fassa, nous vivons avec une épée d'amoclès au-dessus de la tête; nous attendons sagement THE lettre pour déterminer notre sort au sein de l'Entreprise. Les négociations n'aboutissent à rien ??? La parole n'a pas d'échappatoire possible alors faisons ce qui a été fait par le passé : allons manifester dans les bureaux (qui travaillent, eux), bloquons les accès. Nous ne voulons pas arriver à une situation aussi tragique qu'en GUADELOUPE, mais regarder le résultat, nous devons nous en inspirer, et même si c'est Cater qui doit commencer... Ce n'est pas un discours de "révolutionnaire". Juste d'une personne qui croit en cette boutique et en ces salariés. Ça me fait mal au coeur de voir tout le gachis que cette crise et notre désinvolture s'acheminent à faire de nous.
Caterpillar veut réduire ses effectifs dans l'Isère
RépondreSupprimer12/01/2009
Social
Le constructeur d'engins de chantier Caterpillar a annoncé vouloir réduire de 600 postes l'effectif de son site de Grenoble, en Isère, où il emploie 2 700 salariés. Dans une lettre datée du 9 janvier envoyée à ses salariés, le groupe fait part des « difficultés économiques mondiales » pour justifier cette décision.
Dans ce courrier, Caterpillar explique également que « le niveau des commandes pour l'année 2009 s'est effondré et représente désormais à peine la moitié de notre capacité ». Le site grenoblois, spécialisé dans la fabrication de tracteurs à chaînes de roulement, a réalisé un chiffre d'affaires de 247,7 millions d'euros en 2007.
Caterpillar coupe dans les salaires des cadres
RépondreSupprimer22.12.08 - 19:44 Caterpillar, le plus important producteur mondial de machines de construction notamment implanté en Belgique, va couper dans les salaires des cadres, a fait savoir lundi le siège basé aux Etats-Unis (Illinois).
Les rémunérations vont diminuer de 5 à 35%, et jusqu'à 50% pour les cadres supérieurs.
Pour certaines fonctions aux Etats-Unis, la société propose des départs volontaires. Les engagements prévus sont gelés et les arrêts temporaires de production vont continuer.
L'entreprise n'a pas précisé le nombre de travailleurs concernés ni l'ampleur de l'économie. Il n'est pas clair si les mesures ne touchent que les Etats-Unis.
Le groupe emploie 5.000 personnes à Gosselies.
Communiqué de Presse de Annie David Sénatrice
RépondreSupprimerRestructurations dans le département :
la sénatrice rencontre les salarié-e-s
Notre département est touché de plein fouet par la crise financière et économique : TYCO, CELETTE, LAFARGE et aujourd’hui c’est au tour de VALEO et de CATERPILLAR d’annoncer des suppressions d’emplois !
Ces restructurations sont présentées comme étant inéluctables face à la crise ! Mais je refuse ce fatalisme et mets en garde les entreprises qui utiliseraient la crise pour justifier des plans sociaux.
C’est pourquoi, il me semble primordial d’échanger avec les salarié-e-s.
Ainsi, je me suis rendue à VIENNE, le lundi 12 janvier 2009, à la rencontre des salarié-e-s du groupe LAFARGE, menacés par la mise en oeuvre d’un plan social qui devrait voir la suppression d'une quarantaine d'emplois sur le site de Seyssuel. Après avoir écouté les représentants syndicaux, il semblerait, chiffres à l’appui, que ce groupe et son coactionnaire le fonds d'investissement PAI PARTNERS, aient prémédité cette restructuration, même si la crise l’a sans doute accélérée. J’ai donc saisie Madame Christine LAGARDE, Ministre de l’économie, de l’industrie et de l’emploi, afin qu’elle intervienne auprès de la direction pour maintenir l’emploi sur ce site !
J’ai, par ailleurs, rencontré les salarié-e-s de l’entreprise CELETTE repris par le groupe EQUINOX, un fonds d'investissement basé en Suisse. Le plan de continuation prévoit le licenciement de 20 salarié-e-s sur un effectif de 180. L’enjeu sera toutefois de veiller à ce que ce groupe mette en œuvre une véritable stratégie industrielle dans l’objectif de pérenniser le site. Sur ce dossier, les salarié-e-s savent pouvoir compter sur mon soutien.
Quant à l’annonce par l’entreprise de CATERPILLAR de supprimer 600 emplois - ou 450 en contrepartie d’une annualisation du temps de travail - sur les sites de GRENOBLE et d’ECHIROLLES, là aussi les salarié-e-s que j’ai rencontré le jeudi 15 janvier craignent que la crise ne soit qu’un prétexte pour restructurer, voir délocaliser une partie de la production ! Sur ce dossier également, je serai vigilante et m’engage à saisir la ministre LAGARDE, ainsi que le Préfet de l’ISERE!
Je condamne fermement l’ensemble de ces restructurations qui semblent pour partie injustifiées et m’engage aux côtés des salarié-e-s à les soutenir pour toutes les initiatives qu’ils et elles jugeront utiles d’entamer pour préserver l’emploi dans notre Département !
Grenoble le 19 janvier 2009
j'ai appris que la cgt et la cftt voulaient faire un blog pour moi c'est de la jalousie car c'est deux syndicat c'est de la merde et au lieu de copier sur les autres vaudrait mieux qu'ils s'occupent un peut mieux des salariés.Pour moi qui suis dans les bureaux , je pence cftc pour ce sortir de cette crise.
RépondreSupprimerMettez votre BLog a jour. On parle aujourdùhui de 733 postes supprimes
RépondreSupprimerJ’ai plusieurs questions concernant les mesures de suppressions de postes annoncées par courrier de la part de notre "chère" direction, mais avant j'aimerais te donner mon avis sur la situation et sur notre manière de procéder.
RépondreSupprimerTout d'abord analysons les faits.
Caterpillar subit une forte baisse de commandes. Nous avons en 2008 construit un peu plus de 8000 machines aujourd’hui la direction annonce que nous avons une prévision de commandes de 3 ou 4000 machines pour 2009.
Sachant qu’il ne s’agit que de prévisions et bien que je pense que la direction tronque les chiffres pour mieux nous faire avaler la couleuvre il serait absurde de ne pas reconnaître que la situation de CAT France n’est pas brillante.
La direction de Cater a décidé de prendre des mesures pour réduire les effectifs.
Cela me parait logique nous étions 3200 salariés pour construire 8000 machines pour construire deux fois moins de machines il faut deux fois moins de personnel ils ont besoin de 1600 personnes.
Quand on a compris cela il me semble idiot de croire que les négociations sur le temps de travail ou sur les quelques « avantages que nous avons chèrement acquis par nos luttes » peuvent avoir une influence à long terme sur le nombre de personnes que cater souhaite licencier.
Il est facile d’imaginer que c’est ce que la direction va souhaiter nous faire croire.
Cela ne sert a rien de se battre pour conserver les emplois.
Inutile de s’épuiser c’est mort !
Il faut se battre pour que les salariés puissent partir dans les meilleures conditions possibles primes de licenciement reclassement etc.…Tyco prime de licenciement 30000 euro minimum pouvant aller jusqu'à 90 000 euro (source fr3 édition de 19h du 17/02/09)
Celle-ci souhaite le faire rapidement. Est-ce NOTRE INTERET ?
Heureusement nous ne sommes pas en chine ou aux US en France il y a des lois qui instaurent une procédure en cas de licenciement à savoir des obligations pour l’employeur et des délais de préavis.
Je pense que notre intérer est de faire traîner c’est autant de répit pour les futurs licenciés.
Et sait on jamais l’activité peut repartir ce qui changerais complètement la donne.
Quoi qu’il en soit le temps joue en notre faveur.
Que cater respecte bien la loi sinon faite des entraves c’est autant de gagner.
Qui est pressé d’être viré ?
Mes questions :
J'ai appris que la CGT avait une liste avec le nombre de personnes qui sont concernées par les suppressions de poste dans chaque service a tu eu cette info et peut tu la communiquer?
D'après toi quels seront les critères qui seront pris pour sélectionner les licenciements? (Age ancienneté situation familiale tête du client......).
Merci de m’avoir lu
Salut et ne nous lâcher pas
Cela fait deux fois que je diffuse un commentaire j'espére que cette fois il s'affichera.
RépondreSupprimerVous avez créé un blog il faut laisser les salariés de cater s'exprimer meme si de ces opinions ne corespondent pas a vos attentes merci
Une grosse pensée pour Chehab , un homme de valeur avec des valeurs .....
RépondreSupprimerBonsoir, est-il vrai que demain 24/02, une rencontre doit avoir lieu entre la ministre de l'économie et CATER/maires de Gre. et Echirolles?
RépondreSupprimerMerci de vos infos à tous...
Bonjour,je suis entièrement d'accord avec le commentaire du 15 février de 09h02, à quelques différences près : je dis OUI, Cat France traverse une période creuse, les commandes sont à la baisse et l'effectif d'aujourd'hui est trop important par rapport au nombre de machines à faire. Il est "logique" de licencier (très dur à écrire mais c'est une réalité mondiale).
RépondreSupprimerLà où je ne suis pas d'accord, tous les acquis sociaux ne doivent pas être en péril à cause de cette crise.Il sera malheureux de se séparer de 733 collègues, mais il en restera encore environ 1800. Je dis NON ,à tout ça. Notre combat doit se focaliser sur les conditions de départ de nos malheureux 733 collègues, mais aussi sur les conditions de travail de ceux qui vont rester. Les plus pessimistes diront que cette usine est vouée à une fermeture certaine, mais, pour ma part, je ne veux pas partir en ayant des regrets de ne pas avoir essayé.
On entend des "choses" à l'extérieur mais rien de l'intérieur, c'est dommageable de la part de l'intersyndicale. Notre copain CHEHAB était un homme de conviction, passionné et extrèmement philantrope; je pense que d'où il est maintenant, il doit se dire que le combat, qu'il a mené jusqu'à maintenant, ne doit pas être vain parce que, nous, salariés de CAT France, n'avons aucune volonté que cette "boite" continue à vivre (elle). Je dis "ASSEZ" !!!
Il y a une "manifestation", Jeudi 26 février à 09h à Cat Grenoble, les politiciens de la régions se mobilisent pour nous, NOUS NOUS DEVONS D'ÊTRE PRÉSENTS ET D'AGIR.
Je crois qu'il est temps enfin de passer à l'action. Fini cette mascarade, tous les jours que dieu fassa, nous vivons avec une épée d'amoclès au-dessus de la tête; nous attendons sagement THE lettre pour déterminer notre sort au sein de l'Entreprise. Les négociations n'aboutissent à rien ??? La parole n'a pas d'échappatoire possible alors faisons ce qui a été fait par le passé : allons manifester dans les bureaux (qui travaillent, eux), bloquons les accès. Nous ne voulons pas arriver à une situation aussi tragique qu'en GUADELOUPE, mais regarder le résultat, nous devons nous en inspirer, et même si c'est Cater qui doit commencer...
Ce n'est pas un discours de "révolutionnaire". Juste d'une personne qui croit en cette boutique et en ces salariés. Ça me fait mal au coeur de voir tout le gachis que cette crise et notre désinvolture s'acheminent à faire de nous.
SALUT LES COPAINS BON COURAGE LES LIEBHERR COLMAR
RépondreSupprimerSALUT ROBERT LE 19 TOUS ENSEMBLE FRANCE MORTE